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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 10:00
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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 17:29

 

Whenever I say your name, whenever I call to mind your face
Whatever bread's in my mouth, whatever the sweetest wine that I taste
Whenever your memory feeds my soul, whatever got broken becomes whole
Whenever I'm filled with doubts that we will be together

Wherever I lay me down, wherever I put my head to sleep
Whenever I hurt and cry, whenever I got to lie awake and weep
Whenever I kneel to pray, whenever I need to find a way 
I'm calling out your name

Whenever those dark clouds hide the moon
Whenever this world has gotten so strange
I know that something's gonna change 
Something's gonna change

Whenever I say your name, I'm already praying, 
I'm already filled with a joy that I can't explain
Wherever I lay me down, wherever I rest my weary head to sleep
Whenever I hurt and cry, whenever I got to lie awake and weep 
Whenever I'm on the floor
Whatever it was that I believed before
Whenever I say your name, whenever I say it loud, I'm already praying

Whenever this world has got me down, whenever I shed a tear
Whenever the TV makes me mad, whenever I'm paralyzed with fear 
Whenever those dark clouds fill the sky, whenever I lose the reason why
Whenever I'm filled with doubts that we will be together

Whenever the sun refuse to shine, whenever the skies are pouring rain
Whatever I lost I thought was mine whenever I close my eyes in pain
Whenever I kneel to pray, whenever I need to find a way
I'm calling out your name

Whenever this dark begins to fall
Whenever I'm vulnerable and small
Whenever I feel like I could die
Whenever I'm holding back the tears that I cry 

Whenever I say your name, whenever I call to mind your face
I'm already praying
Whatever bread's in my mouth, whatever the sweetest wine that I taste
Wherever I lay me down, wherever I rest my weary head to sleep
Whenever I hurt and cry, whenever I'm forced to lie awake and have to weep 
Whenever I'm on the floor
Whatever it was that I believed before
Whenever I say your name, whenever I say it loud, I'm already praying

Whenever I say your name, 
No matter how long it takes,
One day we'll be together 

Whenever I say your name, 
let there be no mistake
that day will last forever


Sting

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27 avril 2013 6 27 /04 /avril /2013 14:10
Because of a few songs
Wherein I spoke of their mystery,
Women have been
Exceptionally kind
to my old age.
They make a secret place
In their busy lives
And they take me there.
They become naked
In their different ways
and they say,
"Look at me, Leonard
Look at me one last time."
Then they bend over the bed
And cover me up
Like a baby that is shivering.
Leonard Cohen
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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 20:29
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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 11:42

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Woman, I can hardly express,

My mixed emotions at my thoughtlessness,

After all, I'm forever in you debt,

 

And woman, I would try to express,

My inner feelings and my thankfulness,

For showing me the meaning of success.

 

Woman, I know you understand,

The little child, inside the man,

Please remember, my life is in your hands,

 

And woman, hold me close to your heart,

However distant, don't keep us apart,

After all, it was written in the stars.

 

Woman, please let me explain,

I've never meant to cause you sorrow or pain,

So let me tell you again and again and again...

 

I love you

Now and forever,

I love you

Now and forever...

 

 

John Lennon

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27 septembre 2012 4 27 /09 /septembre /2012 10:57

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Rebelle et soumise

Paupières baissées

Quitte ta chemise

Belle fiancée

 

L'amour est cerise

L'amour est cerise

 

Et le temps pressé

C'est partie remise

Pour aller danser

Autant qu'il nous semble

Raisonnables et fous

Nous irons ensemble

Au-delà de tout

Prête-moi ta bouche

Pour t'aimer un peu

Ouvre moi ta couche

Pour l'amour de Dieu

 

Laisse-moi sans crainte

Venir à genoux

Goûter ton absinthe

Boire ton vin doux

O rires et plaintes

O mots insensés

La folle complainte

S'est vite élancée

 

Défions le monde

Et ses interdits

Ton plaisir inonde

Ma bouche ravie

Vertu ou licence

Par Dieu je m'en fous

Je perds ma semence

Dans ton sexe roux

 

O Pierrot de lune

O monts et merveilles

Voilà que ma plume

Tombe de sommeil

Et comme une louve

Aux enfants frileux

La nuit nous recouvre

De son manteau bleu

 

Rebelle et soumise

Paupières lassées

Remets ta chemise

Belle fiancée

 

L'amour est cerise

Et le temps passé

C'est partie remise

Pour aller danser

 

 

Jean Ferrat


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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 11:44

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T'avais mis ta robe légère

Moi, l'échelle contre un cerisier

T'as voulu monter la première

Et après

 

Y a tant de façons, de manières

De dire les choses sans parler

Et comme tu savais bien le faire

Tu l'as fait

 

Un sourire, une main tendue

Et par le jeu des transparences

Ces fruits dans les plis du tissu

Qui balancent

 

Il ne s'agissait pas de monter bien haut

Mais les pieds sur les premiers barreaux

J'ai senti glisser le manteau

De l'enfance

 

On n'a rien gravé dans le marbre

Mais j'avoue souvent y penser

Chaque fois que j'entends qu'un arbre 

Est tombé

 

Un arbre, c'est vite fendu

Le bois, quelqu'un a dû le vendre

S'il savait le mal que j'ai eu

A descendre

 

D'ailleurs en suis-je descendu

De tous ces jeux de transparence,

Ces fruits dans les plis du tissu

Qui balancent?

 

J'ai trouvé d'autres choses à faire

Et d'autres sourires à croiser

Mais une aussi belle lumière

Jamais

 

A la vitesse où le temps passe

Le miracle est que rien n'efface l'essentiel

Tout s'envole en ombre légère

Tout sauf ce goût de fièvre et de miel

 

Tout s'est envolé dans l'espace

Le sourire, la robe, l'arbre et l'échelle

A la vitesse où le temps passe

Rien, rien n'efface l'essentiel

 

J'ai trouvé d'autres choses à faire

Et d'autres sourires à croiser

Mais une si belle lumière

Jamais

 

Et voilà que, du sol où nous sommes,

Nous passons nos vies de mortels

A chercher ces portes qui donnent 

Vers le ciel

 

 

Francis Cabrel

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12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 19:04

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Il n'est pas de hasard,

Il est des rendez-vous,

Pas de coïncidence,

Allez vers son destin,

L'amour au creux des mains,

La démarche paisible,

Porter au fond de soi,

L'intuition qui flamboie,

L'aventure belle et pure,

Celle qui nous révèle,

Superbes et enfantins,

Au plus profond de l'âme.

 

Portée par l'allégresse,

Et la douceur de vivre,

De l'été qui commence,

La rumeur de Paris,

Comme une symphonie,

Comme la mer qui balance.

 

J'arrive au rendez-vous,

Dans l'épaisse fumée,

Le monde me bouscule,

Réfugié dans un coin,

Et observant de loin,

La foule qui ondule,

Mais le choc imminent,

Sublime et aveuglant,

Sans prévenir arrive.

 

Je m'avance et je vois,

Que tu viens comme moi,

D'une planète invisible,

Où la pudeur du coeur,

Impose le respect,

La confiance sereine

Et en plus tu t'ouvres à moi,

Et en plus je m'aperçois,

Que lentement je m'ouvre,

Et en plus je m'ouvre à toi,

Et en plus je m'aperçois,

Que lentement je m'ouvre.

 

Il fut long le chemin

Et les pièges nombreux,

Avant que l'on se trouve,

Il fut long le chemin,

Les mirages nombreux,

Avant que l'on se trouve.

 

Ce n'est pas le hasard,

C'est notre rendez-vous,

Pas une coïncidence

 

 

Etienne Daho

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 19:18

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Ame ou soeur

Jumeau ou frère

De rien mais qui es-tu

Tu es mon plus grand mystère

Mon seul lien contigu

Tu m'enrubannes et m'embryonnes

Et tu me gardes à vue

Tu es le seul animal

De mon arche perdue

 

Tu ne parles qu'une langue

Aucun mot déçu

Celle qui fait de moi mon autre

L'être reconnu

Il n'y a rien à comprendre

Et que passe l'intrus

Qui n'en pourra rien attendre

Car je suis seule à les entendre

Les silences et quand j'en tremble

 

Toi, tu es mon autre

La force de ma foi

Ma faiblesse et ma loi

Mon insolence et mon droit

 

Moi, je suis ton autre

Si nous n'étions pas d'ici

Nous serions l'infini

 

Et si l'un de nous tombe

L'arbre de nos vies

Nous gardera loin de l'ombre

Entre ciel et fruit

Mais jamais trop loin de l'autre

Nous serions maudits

Tu seras ma dernière seconde

Car je suis seule à les entendre

Les silences et quand j'en tremble

 

 

Toi, tu es mon autre

La force de ma foi

Ma faiblesse et ma loi

Mon insolence et mon droit

 

Moi, je suis ton autre

Si nous n'étions pas d'ici

Nous serions l'infini

 

Et si l'un de nous deux tombe...

 

 

Lara Fabian



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16 août 2012 4 16 /08 /août /2012 09:57

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Sans ses cheveux qui volent,

J'aurais, dorénavant,

Des difficultés folles

A voir d'où vient le vent.

 

Tout est bon chez elle, y a rien à jeter,

Sur l'île déserte il faut tout emporter.

 

Je me demande comment

Subsister sans ses joues

M'offrant de belles pommes

Nouvelles chaque jour.

 

Tout est bon chez elle, y a rien à jeter,

Sur l'île déserte il faut tout emporter.

 

Sans sa gorge, ma tête,

Dépourvue de coussin,

Reposerais par terre

Et rien n'est plus malsain.

 

Tout est bon chez elle, y a rien à jeter,

Sur l'île déserte il faut tout emporter.

 

Sans ses hanches solides

Comment faire, demain,

Si je perds l'équilibre,

Pour accrocher mes mains?

 

Tout est bon chez elle, y a rien à jeter,

Sur l'île déserte il faut tout emporter.

 

Elle a mille autre choses

Précieuses encore

Mais, en spectacle, j'ose

Pas donner tout son corps.

 

Tout est bon chez elle, y a rien à jeter,

Sur l'île déserte il faut tout emporter.

 

Des charmes de ma mie

J'en passe et des meilleurs.

Vos cours d'anatomie

Allez les prendre ailleurs.

 

Tout est bon chez elle, y a rien à jeter,

Sur l'île déserte il faut tout emporter.

 

D'ailleurs, c'est sa faiblesse,

Elle tient ses os

Et jamais ne se laisse-

rait couper en morceaux.

 

Tout est bon chez elle, y a rien à jeter,

Sur l'île déserte il faut tout emporter.

 

Elle est quelque peu fière

Et chatouilleuse assez,

Et l'on doit toute entière

La prendre ou la laisser.

 

Tout est bon chez elle, y a rien à jeter,

Sur l'île déserte il faut tout emporter.

 

 

 

Georges Brassens

 


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